Maud Le Pladec

Twenty seven perspectives

Chaillot

28/03-03/04



Les Indes Galantes

Clément Cogitore

Projection du court métrage

104

03-10/04



Boeuf de Chambre

Centre de musique de Chambre de Paris

Salle Cortot

06/04



Naissance(s)

ESTHER VAN DEN DRIESSCHE / COLLECTIF FEMME TOTEM

Théâtre 13

04-21/04

Utilisant la troublante vérité de l’art du masque, Esther Van Den Driessche et ses cinq comédiennes nous entraînent dans un dédale de récits à la rencontre de personnalités étranges, cocasses et extraordinaires qui progressivement révéleront les masques derrière lesquels se cachent nos caractères les plus profonds. Une expérience unique, émouvante et drôle d’une rencontre avec nous-mêmes autour de notre naissance



Et toi, t'es là pour quoi?

Charlotte Monnier

Guichet Monparnasse

05/04-12/05

« ET TOI, T'ES LÀ POUR QUOI ? est presque un seule en scène. En présence du chanteur Jérémie Kisling, la comédienne y tient un monologue, en alexandrins. Mesuré, calculé, équilibré. Chaque mot est pesé, pensé et repensé. Une forme restrictive qui s’est donc naturellement imposée avec le sujet de l’anorexie, cette addiction morbide au self-control, à la discipline et à l’intransigeance



Passo

Ambra Senatore

Théâtre de la Ville

10-13/04



Ca ira (1), Fin de Louis

Joel Pommerat

Théâtre de la Porte Saint -Martin

A partir du 13/04



Goat - Hommage à Nina Simone

Ben Duke

Théâtre de la Ville

16-26/04



Bohème, notre jeunesse

 Théâtre Jean Vilar, Suresnes

A partir du 16-17/04

(et le 16 et 17/05 au théâtre Montansier à Versailles)



Léon & Lightfoot / Van Manen

Opéra de Paris

18/04-23/05



Pichet Klunchun - Wu-Kang Chen

Pompidou

24-25/04

Behalf, « de la part de », est un dialogue dansé entre deux danseurs-chorégraphes asiatiques. L’un est taïwanais, l’autre est thaïlandais, et ils apportent chacun une méthode, un héritage et une sensibilité qui leur est spécifique. Behalf interroge la possibilité de parler au nom de quelqu’un d’autre ou au nom de sa culture ; la pièce explore les possibilités offertes par la division et le partage de l’espace scénique



Funeral Blues

Bouffes du Nord

24-27/04

Funeral Blues, the Missing Cabaret est, à bien des égards, le spectacle jazz que Benjamin Britten et W. H. Auden auraient écrit si leur relation avait été mise en scène avec leurs propres mots et musique

 



Maya Dunietz joue

Emahoy Tsegué-Maryam Guèbrou

Gaieté lyrique

28/04

Il y a treize ans, Francis Falcetto, l’initiateur de la collection Éthiopiques, mettait en lumière les compositions de la religieuse éthiopienne Emahoy, âgée de 95 ans qui vit actuellement au monastère éthiopien de Jérusalem. Tsegué-Maryam Guébrou. En finesse, l’artiste sonore et pianiste Maya Dunietz réinterprète son répertoire au piano



Gatsby le Magnifique

Concert-fiction

Maison de la Radio

02/05



Ich bin Charlotte

Théâtre de Poche Montparnasse

Jusqu'en juillet

 Tirée d’une histoire vraie, la pièce retrace l’enquête troublante menée par deux amis Américains pour tenter de percer le mystère de Charlotte von Mahlsdorf, un personnage fascinant et subversif devenu une icône de la pop culture berlinoise

 



Berlin Kabaret

Théâtre de Poche Montparnasse

Jusqu'au 19/05

On est à Berlin, sous la République de Weimar, dans les premières années de la montée du nazisme. Kirsten dirige l’un des grands cabarets de la capitale allemande, qui vit à la fois dans la misère économique et sociale et dans la décadence des mœurs.  Elle mène la danse sans scrupule. Entourée de son fils, de son ex-amant auteur, d’un compositeur en vogue et de deux musiciens, elle nous entraîne dans l’évocation d’une gloire passée.

Une traversée satirique et tragique de l’époque la plus sombre de l’Allemagne dans un contexte artistique où l’expressionnisme jette ses derniers feux.



David Assaraf

Maison de la Poésie

11/04

Hommage aux morts et aux vivants, « Ceux qui dorment dans la poussière » rassemble chansons, instruments & poèmes (Apollinaire, Bukowski, Picabia…). Comme un voyage intérieur, en alerte sur le monde, morts et natures mortes, instants de vie, rêves et souvenirs, fragilité du moment, s’entremêlent. Chaque pièce offre un témoignage intime proche d’un voyeurisme d’écoute. Si « Dès que l’homme naît, il est assez vieux pour mourir », c’est ici une tentative de saisir la beauté pour l’asseoir, même amer, sur ses genoux